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Affichage des articles du février, 2014

L'immigration de masse...en Suisse c'est le laboratoire de la nouvelle lutte des classes...

Voilà un pays qui fonctionne depuis des décennies sur un modèle dual qui a créé au fil du temps une élite de professionnel-le-s et une mini élite de rente. Depuis la libre-circulation, une élite exogène arrive en Suisse bardée de diplômes et avec des valeurs élitistes qui ne pensent que diplôme, élite, finance, immobilier contre gueux, métiers pourris et ceux d'en bas. Ils sont appuyés dans l'arc lémanique par une bonne partie de bobo qui s'est engagé dans la course au diplôme dès l'école enfantine (1ère harmos). On parle anglais sur les bords du Léman et c'est de bon ton de dire que ceux qui ont votés contre ce système sont des cons et n'ont rien compris. Ce que j'ai bien compris c'est que non content d'avoir pillé leurs pays d'origine ces élites exogènes viennent profiter du système dual qui fonctionne encore et où il ne fait pas trop froid... (les autres pays sont plus au nord)  Aveuglée, l'élite bobo de gauche ni voit rien d'au

l'après 9 février 2014 en Suisse... La vision a long terme n'est-elle pas la vrai question ?

La Suisse est indépendante, libre et démocratique ! Cela plaît ou non, l'essentiel c'est que nous sommes encore libre de faire des choix et cela c'est un plus pour le futur. Voilà, nous ne voulons pas vivre à Singapour et le message est là. Il y avait deux choix ce week-end des tours de 115 mètres dans toutes les villes ou une gestion de la démographie et de l'immigration. Les Suisses ont choisi. Quel est la part de l'immigration dans la croissance de notre PIB ? Quel est la part de la création d'emploi dû à l'immigration ? Et si c'était la panacée, pourquoi les autres pays européens ne le font pas ? Faites venir 2 millions d'étrangers dans n'importe quel pays et vous verrez que la demande intérieure va exploser ! Bref, l'avenir c'est tout autre chose que de l'immigration, c'est un nouveau modèle de société et cette décision du peuple suisse va plutôt nous imposer de réfléchir vraiment sur le futur. Quand nous paierons la pr